Les différents nuisibles au fil des saisons

Tout comme pour d’autres animaux, la vie des nuisibles est bien rythmée par les 4 saisons de l’année. En fonction des saisons, nous voyons apparaître et disparaître certaines petites bêtes.

En hiver, ce sont les rats et souris qui sont le plus répandu. Ils cherchent par tous les moyens un abri pour se cacher des intempéries. Ils recherchent principalement la chaleur et la nourriture. Ils peuvent occasionner de réels dégâts comme la destruction des câbles électriques, des fils des équipements ménagers et la contamination des denrées alimentaires. Ils sont surtout porteurs de maladies dangereuses pour l’Homme, comme le hantavirus.

Les punaises de lits, puces et cafards sont aussi des nuisibles présents en hiver qui ont tendance à se réfugier à l’intérieur pour échapper au froid.

Au printemps, les mites, pigeons et insectes du jardin font leurs apparitions et avec eux leurs désagréments.

Les mites se reproduisent à vitesse grand V, et leurs larves se nourrissent des fibres de nos textiles.

Les pigeons avec leurs fientes viennent attaquer nos façades, rendent les trottoirs glissants et sont surtout porteurs de maladie.

En même temps, dans le jardin les fourmis, mouches, cafards, blattes font leurs apparitions.

Puis vient l’été et avec ces beaux jours, certains nuisibles du printemps persistent comme les fourmis, cafards et mouches. Mais d’autres viennent s’ajouter comme les moustiques qui sont probablement les insectes les plus communs de l’été et des plus agaçants. Des millions de personnes à travers le monde se plaignent des démangeaisons dues à leurs piqûres. Les autres insectes piqueurs font également leur apparition en été comme les guêpes, abeilles et frelons.

Enfin, en automne, avec le froid et l’humidité, un grand nombre de nuisibles disparaissent et laissent place aux araignées et de nouveau aux puces et punaises de lit qui se réfugient dans nos intérieurs.

En fonction de la météo, si l’automne est doux, les insectes piqueurs persistent au début de l’automne.